Sacrilège, sinon blasphème : des graffiti sur la vénérable charpente des Halles ! Si la vie politique, même au niveau communal, était une guerre, je dirais que c’est de bonne guerre, mais je crois qu’il nous suffit de nous en tenir au débat, à la confrontation des points de vue. La tentation a été trop forte pour l’opposition communale d’enfourcher la fringante cavale (cité équestre) de la polémique. Cependant, l’objet de ce papier n’est pas de m’inscrire dans cette chamaillerie sans grand intérêt mais de prendre un peu de distance.
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