Le chant du coucou n’a pas le charme du pépiement des mésanges, ni des trilles de la traie (grive draine en gallo), encore moins des modulations subtiles du rossignol ; non le coucou radote sur 2 notes, et c’est lassant. Mais le coucou mérite plus d’attention : il pratique le parasitisme de couvée, pour le dire plus clairement, il fait couver ses œufs et nourrir ses oisillons par des oiseaux d’autres espèces. En politique – à quoi je m’intéresse aussi – cela s’appelle l’entrisme, la spécialité assumée des trotskistes.
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