C’est l’histoire d’une cuve à fioul abandonnée en un recoin de voie publique, pas trop visible, mais bien commode pour y manoeuvrer discrètement avec une voiture, une camionnette, un tracteur. La pauvre était cul par dessus tête et laissait s’échapper, comme du sang noir, le reste de son mazout, à deux pas du ruisseau. Nous ne saurons pas si son ancien propriétaire a touché la prime…
