Une école, un projet pour tous

Le projet de réhabilitation de l’école Beausoleil (primaire et ancienne maternelle) a été approuvé lors d’un conseil exceptionnel le 14 octobre 2019. Ce qui permettait de déposer le permis de construire. Boris Lemaire a décidé que le projet sera présenté au nouveau conseil dans une réunion spéciale le mercredi 10 juin. Excellente initiative : sur les 29 conseillers élus le 15 mars, 9 seulement avaient pu prendre connaissance du dossier. Mais il faudra aussi apporter plus d’information à l’ensemble des habitants de la commune.

Résumé des épisodes précédents

Le projet global de restructuration des écoles communales avait été lancé en 2016. Validé en conseil le 28 novembre 2016, le projet comportait deux phases : la construction d’une école maternelle neuve et la réhabilitation des anciens bâtiments. La première phase s’est achevée au mois de février dernier avec l’inauguration de la nouvelle école maternelle.

Des morceaux de ruban pour les enfants



Le coût de cette première phase s’élève à 5,650 M€. Il s’agit de la somme TTC, et rappelons que l’Etat rembourse aux communes la TVA sur les investissements. C’est donc d’une dépense de 4,7 M€ qu’il faut prendre en compte et en déduire les subventions et participations obtenues de l’Etat (410 K€), de la Région Bretagne (250 K€) et du Département du Morbihan (300 K€). Voir ici les images de l’architecte maître-d’oeuvre, M. Serpin.

La deuxième phase a commencé

La deuxième phase (réhabilitation des bâtiments existants) a été lancée à la réunion spéciale du conseil municipal du 14 octobre qui a validé l’APD (Avant Projet Définitif) présenté par l’architecte maître-d’oeuvre, M. Serpin (Hexagone Architecture), et par Mme Le Borgne, du cabinet EADM (assistance à maîtrise d’ouvrage). La délibération permettait de lancer les appels d’offres. Sur les 16 lots, 5 ont été déclarés infructueux ; ils ont été relancés et c’est la nouvelle commission des marchés qui va devoir les examiner.

L’estimation des travaux s’élève 2,6 M€. Rappelons qu’à ce montant de travaux s’ajoutent les coûts de la maîtrise d’oeuvre, des études techniques, etc, ce qui donne le chiffre global de 3,6 M€ TTC évoqué dans la presse. Il serait d’ailleurs intéressant que le conseil, mais aussi tous les habitants, aient une vision d’ensemble de la répartition des coûts (et des recettes). Comme cela a pu être fait pour l’extension de la salle de sports des Buttes ou pour la construction du siège communautaire.

Questembert Communauté avait diffusé en 2011 ce tableau prévisionnel qui montre le total des travaux, mais aussi le coût de la maîtrise d’oeuvre, des études techniques, des assurances chantier, etc… Et aussi une provision pour les actualisations/révisions. Le prévisionnel s’élevait à 2,250 M€ TTC…

Tableau des dépenses prévues pour le siège de Questembert Communauté
Siège de Questembert Communauté, prévisions des coûts

De cette façon, tous les élus – et les citoyens – sont en mesure de comparer avec le coût final tel qu’il a été communiqué en 2015 tel qu’il apparaît dans le tableau ci-dessous. Le coût final TTC était de 2,075 M€, pour une prévision de 2,250 M€

Bilan dépenses et recettes de la construction du siège communautaire
Bilan final dépenses recettes pour le siège de Questembert communauté

Un chantier complexe, en site occupé

La construction d’une école neuve, c’est à la fois compliqué… et très simple : on part d’une page blanche et d’un terrain nu. Notez que cette remarque n’enlève rien à la qualité de ce qui a été réalisé ! Mais pour la réhabilitation des anciens locaux, il faut tenir compte de ce qui existe pour l’adapter aux nouveaux besoins, aux nouvelles contraintes. Un travail beaucoup plus complexe pour la maîtrise d’œuvre et les bureaux d’études techniques.

Ajoutez à cela que l’école va continuer à accueillir les élèves, et les maîtres, et les parents. La seule facilité tiendra au fait que l’ancienne école maternelle pourra être traitée dans la première étape. Ensuite, le bâtiment du haut sera restauré dans la deuxième étape, et le chantier s’achèvera avec le bâtiment du bas. La commune s’engage dans un chantier qui va durer deux ans. A voir l’image donnée par la maîtrise d’oeuvre, ça vaut le coup d’attendre. Mais c’est aussi la période des inscriptions pour l’école élémentaire et pour l’école maternelle (rentrée septembre 2020).

L’aspect extérieur de la future école élémentaire rappellera l’école maternelle pour créer du lien entre les deux bâtiments. | HEXAGONE ARCHITECTURE.

Chiffres du chômage, les bons ou les moins bons

Je viens de lire sur la toile un article sur la situation économique de notre petite ville. Avec des propositions qui méritent sans doute d’être regardées de près, même si certaines relèvent du vœu pieux, même si d’autres sont plutôt irréalisables. N’étant pas en responsabilité, je me garderai d’intervenir dans ce débat : nos nouveaux élus prennent les manettes la semaine prochaine, ils auront à cœur de prendre les bonnes décisions. Mais prendre les bonnes décisions suppose de s’appuyer sur les réalités vérifiées. Alors quand je lis que le taux de chômage à Questembert est de 11,9 %, je sursaute, car le chiffre que j’ai en tête est plutôt entre 7 et 8 %. Et je cherche à comprendre.

Les chiffres du chômage communément utilisés

Voilà ce qui est écrit sur le site : « En 15 ans, le taux de chômage à Questembert est passé de 7,7% à 11,9% (source Insee), ce qui nous situe au-dessus de la moyenne nationale. »

Au-dessus de la moyenne nationale ? Vous pensez comme moi sans doute que la moyenne nationale est aux alentours de 8 %; c’est d’ailleurs le chiffre que donne l’INSEE dans ses Informations rapides n°36 du 13 février 2020

Effrayant, n’est-ce pas ? Nous serions très largement au-dessus de la moyenne nationale : presque 12 % contre 8 % !

En 15 ans? de 2005 à 2020 ? J’ai encore fait quelques recherches sur la toile, d’abord en allant sur le site de l’INSEE où j’ai trouvé cet article qui décrit le chômage au niveau national dans un tableau par sexe et par âge de 1980 à 2015. Un article qui donne un taux de 10% en 2015.

Taux de chômage en 2015
Taux : 10% en 2015

Puis j’ai trouvé ceci sur le site ville-data.com : Le chômage à Questembert.

Copie d'écran ville-data.com, chômage à Questembert
sur le site ville-data.com

Mais à chaque fois, les chiffres ont peu de choses à voir avec les 11,9 % évoqués plus haut. Qui sont donnés comme provenant de l’INSEE.

J’ai fini par trouver ceci sur le journal du net : le taux de chômage à Questembert.

Graphique Tx de chômage à Qt,"au sens du recensement"
Sur le journal du net

Voilà donc la « source INSEE ». En 2006, taux de chômage à Questembert, 7,7 %, contre 8,9 % au niveau national ; et en 2016, 11,9 % à Questembert contre 11 % en France.

Mais pourquoi donner ces chiffres si différents de ceux qu’on trouve habituellement comme dans cet article d’Ouest-France du 16 janvier 2020 Bretagne, les bons chiffres de l’économie et de l’emploi ?

Ou encore les chiffres officiels de la DIRECCTE (Ministère du Travail) sur le taux de chômage en Bretagne?

J’ai fini par trouver : sur le site de l’INSEE, dans l’outil Comparateur de territoire, où l’on voit ce tableau :

Taux de chômage à Questembert, comparateur de territoires insee
Chômage au sens du recensement

Il s’agit des chiffres du chômage au sens du recensement. Ah bon ? C’est quoi ?

Les chômeurs au sens du recensement de la population sont les personnes (de 15 ans ou plus) qui se sont déclarées chômeurs (inscrits ou non à Pôle Emploi) sauf si elles ont, en outre, déclaré explicitement ne pas rechercher de travail ; et d’autre part les personnes (âgées de 15 ans ou plus) qui ne se sont déclarées spontanément ni en emploi, ni en chômage, mais qui ont néanmoins déclaré rechercher un emploi. Remarque Un chômeur au sens du recensement n’est pas forcément un chômeur au sens du BIT (et inversement).

Définition sur le site de l’INSEE

Ce ne sont pas ceux du BIT (Bureau International du Travail) qui servent de base aux comparaisons dans le temps et dans l’espace. Et d’ailleurs si on prend ce que l’INSEE appelle le Dossier complet de la commune de Questembert, on trouve un autre tableau:

Le tableau "population active, emploi et chômage" Dossier complet Questembert
Tableau Dossier Complet Questembert INSEE

Pourquoi avoir choisi ces chiffres ?

Bien sûr, ces chiffres ne sont pas faux, heureusement ! Mais comme ce ne sont pas les chiffres qu’on utilise habituellement pour parler chômage et emploi, on est en droit de se demander pourquoi ils ont été retenus. Tout ne va pas pour le mieux à Questembert, mais il n’y a pas non plus de raison pour jouer avec les peurs et le déclinisme.

Questembert, désert médical? Non!

Le titre de l’article publié par Ouest-France est au moins malheureux, sinon malhonnête. En tout cas, il a énervé plus d’un Questembert, et plus particulièrement les professionnels de santé… et leurs patients.

Copie de l’article publié page 8 le 12 mai

Un nouveau service, oui

C’est une excellente nouvelle pour Questembert et les communes alentour de voir s’installer cette orthoptiste, qui va pouvoir réaliser les examens « classiques » : bilan de vision, fond d’oeil, tension oculaire, etc. Les résultats transmis permettent au médecin spécialiste soit de préparer une ordonnance soit d’inviter le patient à un rendez-vous.

Qui arrive dans un désert médical? Pas si vite

D’abord, si on consulte les pages jaunes, on constate qu’un ophtalmologue, le Dr Delhay, a ouvert un cabinet annexe au 1, rue Alain le Grand. Le désert commencerait-il à se peupler? Non, Questembert est loin d’être un désert médical et notre commune est plutôt bien dotée : sous l’impulsion de notre municipalité, les professionnels de santé se sont regroupés, dès 2012, dans l’association ASTEQ, une organisation pluridisciplinaire de professionnels volontaires pour coordonner les soins sur un bassin de vie.

Le pôle de santé de l’Espace Victor Ségalen

L’association, présidée par le Dr JF Vinatier, a réalisé, sur les terrains rue du Pont-à-Tan rétrocédés par la mairie, le pôle de santé Espace Victor Ségalen qui regroupe dans un premier bâtiment, des médecins généralistes, des cabinets infirmiers, orthophonistes, kinésithérapeutes, psychologues, etc. Un deuxième bâtiment est dédié au laboratoire d’analyses biologiques du Dr Le Run. Cet ensemble a ouvert ses portes en mai 2017…

Un nouveau bâtiment est prévu

L’opération a été un vrai succès, et la société Lexham, qui l’a réalisée, vient d’acquérir sur le même site un terrain de 600 m² pour construire un autre bâtiment sur 2 étages. La vente a été approuvée par le conseil municipal lors de la séance du 2 décembre 2019. Ce troisième bâtiment est nécessaire pour accueillir de nouveaux professionnels de santé.

Une offre médicale satisfaisante

Six médecins généralistes sont installés dans l’Espace Ségalen, deux autres sont restés à l’écart du projet immobilier mais participent pleinement à la coordination grâce au système informatique.

La situation avait cependant été délicate en 2012 au départ en retraite de deux généralistes qui peinaient à trouver des remplaçants : les jeunes médecins veulent désormais travailler en groupe! Cette tension a été le point de départ de l’association.

Des médecins formateurs

Plusieurs généralistes étaient déjà engagés dans la formation des étudiants en médecine. Ils ont intensifiés leurs efforts et aujourd’hui tous accueillent des internes en stage : un bon moyen pour assurer leur formation de terrain, mais aussi pour les rassurer sur l’exercice de leur métier. Ils savent qu’ils ne seront pas seuls… perdus dans le désert.

Les professionnels de santé en réseau

Les plus actifs dans le lancement du projet ont été rejoints par la plupart des autres. A côté de ceux qui sont installés rue du Pont-à-Tan, il existe d’autres cabinets infirmiers, des kinésithérapeutes et d’autres professionnels de santé, sans oublier bien sûr les trois pharmacies de la commune.


Manque de spécialistes?

C’est vrai, il ne faut pas se voiler la face. Les cabinets dentaires peinent à répondre aux besoins des patients et les départs en retraite sont difficiles à remplacer. Mais nous avons depuis longtemps une orthodontiste installée, rue Alain le Grand. Outre les services d’ophtalmologie qui viennent de se créer, le Dr Buchler, rhumatologue, a ouvert son cabinet rue St-Michel.

Mais ce n’est pas facile d’attirer des spécialistes dans une commune rurale. Les ophtalmo souhaitent en plus des consultations pouvoir disposer d’un plateau technique pour des opérations, les gynéco veulent accompagner les femmes jusqu’à l’accouchement en maternité.

J’avais dès le début de mon premier mandat tenté d’attirer des spécialistes et il y avait un espoir dans une coopération avec la clinique des Augustines à Malestroit : le directeur aurait bien voulu recruter des spécialistes de gynécologie et d’ophtalmologie qui auraient partagé leur activité entre les consultations de ville à Questembert et les interventions programmées à la clinique. Mais le regroupement de la maternité et de la chirurgie à l’hôpital de Ploërmel a fait avorter le projet.

Des yeux bien ouverts pour voir la réalité

On comprend bien que la « chargée de développement de Téléophtalmo » ait survendu la nouveauté de l’offre du cabinet secondaire d’orthoptie. Mais que tout le monde se rassure : elle n’arrive pas dans le désert. Il est temps pour elle de se dessiller/déciller les yeux pour découvrir la réalité de Questembert.

Construisons ensemble notre territoire : allons-y

Le vote de dimanche est sans appel : Boris Lemaire et ses colistiers dominent nettement le scrutin avec plus de 57 %, reléguant la liste des sortants à 26 % et la troisième liste à moins de 17 %.

Une élection surprise ? Mais non bien sûr

« Boris Lemaire crée la surprise » titre Ouest-France. Pourtant nombreux étaient les indices favorables pour la liste « Construisons ensemble notre territoire. » D’abord la consistance de cette liste qui rassemble des candidats enracinés dans la vie locale, la vie associative, sportive, culturelle, des candidats aux compétences reconnues, qui se sont préparés sérieusement à exercer les responsabilités. Tout cela se voyait dans le programme élaboré collectivement, fondé sur une bonne connaissance des atouts et des carences du territoire et des attentes des Questembertois. Chacun pouvait se rendre compte que Boris Lemaire était prêt pour assumer le leadership et qu’autour de lui, plusieurs personnes, hommes et femmes, étaient à même de prendre des fonctions dans l’exécutif municipal.

Le socle de son électorat était bien repéré et il était facile de voir qu’il s’était élargi à des groupes qui avaient plutôt soutenu la liste victorieuse en 2014. En sens inverse, cette liste, le Nouvel Elan, s’était fracassée contre les réalités de la commune et beaucoup d’électeurs ont été profondément déçus tant des résultats obtenus que de l’ambiance générale. On a bien perçu le manque d’enthousiasme des uns et des autres pour envisager un nouveau mandat. Et pour gagner une élection, il faut montrer de l’envie, pour en donner aux électeurs !

Enfin, M. Poyedemenge a tenté une construction nouvelle, dont, je crois, les électeurs n’ont pas compris l’orientation générale et sa liste manquait de l’accroche locale qui compte beaucoup aux élections municipales.

Et maintenant au travail !

Oui, c’est maintenant qu’il faut mettre en pratique l’ambition affichée de « construire ensemble notre territoire ». Dans un contexte extrêmement difficile : nous ne sommes qu’au début de l’épidémie de covid-19. Et pourtant, ce ne sont pas les sujets importants qui manquent : comment redonner de l’attractivité à notre petite ville et singulièrement aux commerces du centre ? Comment relancer le projet de territoire de Questembert communauté ? Comment retisser les liens de la vie associative ?

Quelle opposition ?

A priori, les deux élus de la liste de M. Poyedemenge devraient mettre en pratique les principes affichés dans leur programme : un Questembert participatif, citoyen et durable. Personne ne peut douter que les colistiers de Mme Danilo s’écarteront de ce qu’ils écrivaient dans le dernier magazine municipal : ils ne donneront donc pas dans le systématisme de la critique et choisiront la coconstruction. Allez, on parie ?

Opposant systématique, vraiment ?

La dernière tribune des élus de ce qui est encore la majorité municipale vaut son pesant de cacahuètes. Ah que la vie serait belle s’il n’y avait pas eu d’opposition. Surtout si certains opposants avaient démissionné plus tôt. Parce qu’ils faisaient de l’opposition « systématique ».

Dans la tribune des élus de la « majorité »

D’aucuns ? Qui donc ?

« D’aucuns dont les critiques tendaient facilement au systématisme ayant démissionné… » Derrière cette expression alambiquée, je dirais même jésuitique, qui est visé ? Gérard Launay, qui a quitté le conseil en novembre 2018 ? Non, pas lui, il est trop consensuel, ce qui ne l’empêchait pas de dire ses points de désaccord. On se rappellera pourtant la façon indigne dont Mme la Maire et ses proches ont entendu ses derniers propos. Donc, je dois comprendre que c’est de moi qu’il s’agit. Alors, puisque ceci est mon blog personnel, je vais donner mon point de vue.

Opposant systématique ?

En fait, il y a au moins un projet de la municipalité que j’ai approuvé : la construction de l’école. J’avais défendu l’hypothèse d’un emplacement différent, sur le stade d’honneur, mais une fois ce point tranché, j’ai suivi avec intérêt le développement du chantier. Et le résultat final est excellent.

Malgré des réserves sur la « cité équestre », à laquelle je ne croyais guère, je me suis abstenu d’en faire état publiquement. Mettant ainsi en pratique un principe auquel je tiens : ne pas se réjouir des échecs de notre commune. Je le disais à Mme Martin et à ses colistiers dès le soir de l’élection en 2014 : « J’aime trop ma commune pour souhaiter votre échec. » Et j’ai expliqué les principes qui m’ont guidé en tant qu’élu d’opposition dans un éditorial de Questembert Créative et Solidaire.

Des désaccords parfaitement assumés

Oui, j’ai critiqué sévèrement l’arrêt des Festives Halles. Je n’étais pas le seul. Et bien des Questembertois aujourd’hui regrettent cet abandon. Le limogeage d’Yves Martin, DGS, m’a choqué, mais il était assez significatif de leur vision du personnel communal. J’ai critiqué la vente de la maison Guillement pour 45 K€ (elle est proposée à la revente, après travaux, pour 260 K€). J’ai dit mon opposition à la suppression de lemplacement réservé entre la mairie et la rue du Calvaire. J’avais affirmé qu’il n’était pas raisonnable de vouloir transformer en vestiaires sportifs les locaux préfabriqués un temps utilisés par le cabinet infirmier (on en parlait dans ce compte-rendu de conseil). J’ai trouvé inapproprié de faire un cimetière (on n’en parle plus, tiens) sur des terrains prévus pour l’habitat.
Je ne parlerai pas de la Communauté de Communes où très vite les représentants de la majorité ont perdu tout crédit. Ils ont seulement contribué à empêcher le projet communautaire de se développer.

Oui la liste est assez longue des points sur lesquels j’ai exprimé mon désaccord. Mais si vous faites le bilan des six années écoulées, que restera-t-il de positif pour notre ville et la communauté ? Il faudra une formidable énergie pour redonner du souffle aux projets de notre commune. Je connais une équipe qui n’en manque pas.

Vote par procuration : ne tardez pas

Si vous êtes absent pour les élections municipales de ce mois de mars, vous pouvez donner procuration à un autre électeur de la commune qui votera pour vous au bureau de vote.  La procédure est simple mais il ne faut pas tarder! Le premier tour a lieu dimanche 15 mars; le deuxième tour, si nécessaire, est fixé au 22 mars. Vous pouvez donner procuration pour les deux tours si vous êtes absent les deux dimanches ou pour l’un des deux. Continuer la lecture de Vote par procuration : ne tardez pas