Boris Lemaire a souhaité associer les Questembertois, et particulièrement les enseignants, ainsi que les élus de Questembert Communauté à un hommage à Samuel Paty, professeur d’histoire, assassiné pour avoir fait son métier au service de la liberté. Nous étions une petite centaine devant la mairie lundi matin pour signifier notre sidération mais notre détermination à défendre les valeurs de la République contre tous les fanatismes.
Un hommage simple et digne
En un peu moins de 4 minutes, dans une grande sobriété d’expression, Boris Lemaire a dit sa compassion aux proches de Samuel Paty, frappés par ce drame atroce. Attaché à l’enseignement par son histoire personnelle, il a rappelé combien le travail des enseignants est crucial pour la formation des citoyens : faire progresser les enfants et les jeunes vers la liberté de conscience, la liberté de pensée, la liberté d’expression. En insistant sur la laïcité, consacrée dans les lois de la République comme le droit de croire ou de ne pas croire, comme l’obligation de respecter la croyance ou l’incroyance de l’autre. Et il a conclu sur l’exigence des valeurs de la République : « Leur haine ne sera pas la nôtre, notre force est de refuser la haine pour vivre selon les principes gravés au fronton de nos mairies : liberté, égalité, fraternité.«
L’intégrale de l’allocution est en ligne sur le site des Infos du pays gallo:
Un commentaire sur Facebook
Le rassemblement d’hommage à Samuel Paty a été annoncé sur le site officiel de la mairie et la page facebook Ville de Questembert Cette annonce a provoqué un commentaire signé par un certain Jack Bily. Le commentaire a été effacé, aussi je vous en donne ici une copie d’écran.
Jetez-y un rapide coup d’oeil, ça ne mérite pas plus. A peine une allusion au meurtre abominable « une personne sauvagement assassinée ». Tout le reste est un tissu de critiques à l’encontre du maire : fallait aller à la préfecture, fallait faire ça mercredi. Et surtout, cette cérémonie d’hommage ne serait qu’une action de propagande. Qualifiée d’un mot qui sort comme un crachat : abjecte.
La mesquinerie de ce message ne devrait pas donner matière à commentaire. Sauf que l’auteur termine en se réclamant de la « liberté d’expression. » Eh bien soit, accordons la liberté d’expression, mais alors, il faudrait y ajouter la liberté de pensée : on a sûrement le droit de dire ce qu’on veut, on a aussi l’obligation de réfléchir avant de dire n’importe quoi. D’ailleurs, l’auteur a dû s’en rendre compte car il a, de lui-même, supprimé sa publication.
Mais qui est cet auteur ? Il se cache derrière un pseudo Jack Bily. Son compte a sans doute été créé seulement pour ce commentaire. L’anonymat est bien commode ! Quel courage ! Je suggère un autre pseudo pour cet auteur anonyme s’il avait besoin de publier un autre commentaire du même niveau. Non pas Jack Bily, mais plutôt Hill Billy, dont l’adresse serait dans les vallées reculées des Appalaches. Il y serait bien au milieu des fervents supporters de Donald Trump.
Quatrième adjointe auprès de Boris Lemaire, Valérie Jéhanno est en charge de la politique de l’enfance, des affaires scolaires et du multi-accueil. Quelques jours après la rentrée, elle en expose les grandes lignes.
Quels sont les faits marquants de cette rentrée scolaire ?
En d’autre temps, le principal sujet serait les effectifs de nos écoles, mais le contexte sanitaire nous impose des contraintes lourdes. Pourtant, les écoliers et tous les jeunes sont heureux d’être revenus en classe entière, malgré les masques, malgré les gestes barrières, etc. Leur quotidien, à leur âge, est d’être en milieu scolaire, à apprendre avec les professionnels. L’éducation et les relations sociales qui sont autour sont une priorité. C’est leur quotidien. En tant qu’enseignante, je peux également dire que cette relation et ce « contact » en face à face sont essentiels.
Nous savons que la situation peut encore évoluer dans le mauvais sens et nous travaillons sur des scénarios en cas d’aggravation.
Du côté des effectifs, vous avez quand même de bonnes nouvelles ?
Oui, pour les écoles élémentaires et maternelles – le niveau dont la commune a la responsabilités – on accueille 767 élèves, 405 dans les écoles publiques et 362 à l’école Notre-Dame. Bien sûr, l’école DIWAN a dû fermer, mais Beausoleil et Notre-Dame accueillent 107 enfants en classes bilingues, 32 à la maternelle de Beausoleil, 26 en maternelle et 49 en élémentaire à Notre-Dame. La mobilisation des parents et du maire ont permis d’obtenir un demi-poste supplémentaire pour la classe bilingue de Beausoleil.
L’offre en langue bretonne peut, j’en suis sûre, compter sur l’appui des militants de l’association Andon, qui propose toujours des cours pour adultes et une ouverture globale sur cette part de notre culture.
Mais l’école à Questembert, ce n’est pas que le premier degré.
Non, au total, en plus des 767 écoliers, Questembert accueille plus de 2000 jeunes : 442 à Jean-Loup Chrétien, 530 à St-Joseph- La Salle, 695 au lycée Marcellin Berthelot, et 344 à la MFREO.
Une offre qui nous impose des contraintes, comme les besoins en équipements sportifs, la circulation des transports scolaires, mais cette richesse, cette diversité contribuent aussi à l’attractivité de notre ville.
Après la nouvelle école maternelle, voici le chantier de réhabilitation de l’école élémentaire.
Un gros chantier en effet, rendu plus complexe encore parce que l’école doit continuer à fonctionner (des enfants, des enseignants, des animateurs de péri-scolaire, des parents, du personnel de service) malgré les travaux qui vont durer près de 3 ans. Cela génère de multiples contraintes : entrées et sorties des véhicules de chantier à adapter aux horaires de fonctionnement de l’école, bruits, présence d’amiante. Il a fallu prendre tout cela en compte, mais notre école n’est pas la première à connaître ce genre d’expérience.
Nous avons présenté l’ensemble du projet dans une réunion publique – avec trop peu de participants – le mercredi 9 septembre. Nous avons évoqué avec les participants les problèmes déjà repérés (parkings, déplacements, mobilité, bruit), mais il y en aura d’autres ! Nous cherchons un bon moyen de communiquer (une newsletter ?) avec tous les usagers, pour leur apporter les informations nécessaires mais aussi pour recueillir leurs observations.
Les travaux sont organisés en trois phases d’environ 7 mois chacune, hors congés d’été. La première phase, qui concerne l’ancienne école maternelle, a débuté le lundi 21 septembre : 2 semaines de « curages », 1,5 semaine de mise en confinement avant les 3 semaines consacrées au désamiantage, dont une partie se fera pendant les vacances scolaires de la Toussaint. Les réunions de chantier ont lieu tous les jeudis et Patrick Pons, conseiller délégué à la sécurité et aux bâtiments, membre du comité de pilotage Ecoles, représentera la municipalité.
Compliqué et coûteux !
Le plan pluriannuel d’investissement validé au conseil du 29 juin prévoit un total de 3,5 M€ TTC d’ici 2023. Avec une enveloppe travaux de 2,9 M€ HT. Beaucoup d’argent, mais un investissement nécessaire, personne ne le conteste. Cette école – en fait une nouvelle école – comportera des classes de 63,5 m² en moyenne et, parmi les objectifs, on notera une réduction de 40 % de la facture énergétique.
Ce n’est pas un sujet communal, mais l’adjointe aux affaires scolaires doit avoir un œil sur toute l’offre scolaire ?
Le département a annoncé la construction d’un collège neuf, les travaux devraient commencer bientôt, mais, comme pour nous à Beausoleil, le collège Jean-Loup Chrétien doit continuer à fonctionner pendant les travaux, et c’est encore plus compliqué : ils n’ont pas bénéficié des espaces libérés chez nous par la construction de l’école maternelle. Ajoutez à cela l’imbrication avec le lycée qui doit refaire le restaurant commun, avec la gare routière des transports scolaires, le parking de la communauté de communes qui est à réhabiliter. Outre le restaurant des Buttes, la Région doit faire d’importants travaux au lycée.
De son côté le collège St-Joseph La Salle a rénové toilettes et préau et continue les travaux dans les salles de sciences et technologie. Quant à la MFREO, elle a acquis les anciens locaux de l’EDF boulevard Pasteur qui vont être transformés pour en faire des salles de formation. La Commune, au dernier conseil, a accordé sa garantie pour l’emprunt qui finance ces travaux.
On le voit tous les établissements se projettent dans une augmentation des effectifs et une meilleure réponse aux besoins pédagogiques.
Et la restauration scolaire ?
Le marché avec le groupe Elior, qui a absorbé Ansamble, Breiz Restauration, a été reconduit dans des conditions qui ont peu varié : la part du bio, les exigences de qualité, la lutte gaspillage alimentaire restent au cœur de nos exigences. Rappelons que notre cuisine centrale de Beausoleil prépare les repas pour les restaurants scolaires de Beausoleil et de Notre-Dame, mais aussi pour l’ALSH, la maison de l’enfance et la résidence autonomie, ainsi que pour les écoles de Limerzel et Lauzach. Nous allons proposer de constituer un groupe de travail qui sera un comité de pilotage « restauration scolaire » en s’appuyant sur un projet alimentaire territorial, qui devrait s’étendre au-delà de nos limites communales.
Pour les locaux, la création de la nouvelle salle de restauration dans l’école maternelle a desserré la densité à Beausoleil, mais c’est encore tendu pour la restaurant Locmaria de Notre-Dame. Un sujet sur lequel nous devrons sûrement nous pencher.
Mais la politique de l’enfance est une compétence communautaire?
Pas complètement, la maison de l’enfance, l’Arche de Noé, reste communale, mais c’est vrai qu’il y a complémentarité, par exemple pour la fourniture de repas à l’ALSH, pour l’utilisation des locaux de Pomme d’Api (ancienne piscine réhabilitée en 2013-2014). Les animateurs des centres de loisirs sont disposés à développer des projets autour du sport, de la culture musicale. La maison des jeunes aux Buttes apporte un bon appui pour les jeunes décrocheurs, en lien avec le bus du Relais 56.
La complémentarité, on la voit dans la prise en charge des enfants dans la journée ou au cours de la semaine. Elle se voit aussi avec d’un côté le Relais Parents Assistantes Maternelles (communautaire) et de l’autre l’Arche de Noé, le multi-accueil, sous la responsabilité du CCAS.
Justement, ce multi accueil, comment ça marche ?
En ce moment, c’est un peu plus compliqué en raison des contraintes sanitaires à respecter pour le personnel, mais évidemment impossibles pour les enfants. La maison de l’enfance a ouvert en 2004, elle a intégré la halte-garderie qui existait depuis la fin des années 90. Elle offre, pour les enfants de 10 semaines à 3 ans, 30 places en accueil régulier, à temps complet ou à temps partiel, ou de façon occasionnelle.
Le multi-accueil est une structure qui s’adapte aux besoins des familles
accueil de 1 à 5 jours
accueil d’urgence, mission d’intérim, hospitaliers, agroalimentaires, pour une semaine maximum
les deux parents travaillent pour la grande majorité
l’accueil est possible en cas de recherche d’emploi, d’arrêt maladie.
L’accueil est assuré par des professionnels (surtout des professionnelles) : éducatrice de jeunes enfants, auxiliaire-puéricultrice, auxiliaire de vie avec CAP petite enfance, mais aussi, en vacations, une infirmière, un médecin, un psychologue.
Les tarifs sont calculés en fonction du revenu, de la situation professionnelle et du nombre d’enfant à charge… Mais surtout, ils sont très raisonnables !
Professeure dans un collège privé, comment vois-tu ton rôle avec l’école publique communale, l’école catholique ?
J’ai été élevée dans un milieu familial où la tolérance est une valeur fondamentale. D’ailleurs dans mon propre parcours scolaire, je suis passée de l’école privée catholique aux collège et lycée publics. J’ai rencontré à chaque fois des gens avec les mêmes qualités – et aussi les mêmes défauts ! Les qualités humaines ne changent pas selon la catégorie de l’établissement l’on enseigne. C’est d’ailleurs sous cet angle que j’ai abordé ouvertement cette question avec les directrices des écoles publiques dès notre rencontre du mois de juin.
A Questembert, en Bretagne (et ce n’est pas le cas des autres régions de France), il y a une complémentarité entre les deux écoles. C’est historique et ces deux écoles correspondent aux besoins/attentes des familles questembertoises.
Et même on peut le voir comme une concurrence positive. C’est peut-être ce qui permet à notre région d’être une académie où les résultats scolaires sont les meilleurs.
Evidemment, j’assumerai pleinement ma responsabilité vis-à-vis des écoles communales, mais je resterai à l’écoute des parents et des enseignants de l’école Notre-Dame. Notez que la commune est liée à l’école Notre-Dame par un contrat d’association, signé en son temps par Paul Paboeuf. Et nous sommes tous attachés à la réussite et au bien-être de tous nos enfants.
Nous n’avons pas parlé du pédibus, du conseil municipal des enfants, d’autres sujets encore.
A travers le site Questembert-Créative-et-Solidaire, porté par les élus minoritaires du mandat précédent 2014-2020, j’ai reçu, en tant qu’administrateur du site, un message que je souhaite partager avec vous. Notre correspondante, de la Presqu’île Guérandaise, porte un regard acéré sur notre centre-ville. Son message nous donne une idée du défi qui attend la nouvelle municipalité, les commerçants du centre, l’UDEQ et aussi tous les Questembertois, en tant que consommateurs et en tant que citoyens.
Une question à laquelle il faut donner une réponse préalable à tout débat. Que ce message tombe sur notre site du groupe minoritaire – qui reste en ligne, mais qui n’est plus du tout activé – montre à quel point la communication officielle de la mairie a été défaillante. Mme Martin et ses amis nous avaient d’ailleurs reproché d’être trop visibles et, en quelque sorte, d’usurper la place ! Pourtant, ils s’étaient dotés, pour un peu plus de 10 000 euros, d’un site officiel conçu par des professionnels. Encore eût-il fallu faire vivre ce site, le rendre attrayant et y diffuser des informations intéressantes.
Je suis au regret de constater que la page n’a pas encore été mise à jour; il est vrai que la nouvelle municipalité a eu d’autres chats à fouetter et que le budget 2020 n’a été voté qu’au conseil du 29 juin.
Le premier message de notre correspondante Bonjour Venant (et native) d’une presqu’île guérandaise dont les prix de l’immobilier et l’affluence touristique me la rendent hélas rédhibitoire, je cherchais, pas trop loin, une petite ville avec divers paramètres importants pour moi (une école Diwan, même si, à présent grand-mère, je n’ai plus d’enfants à y amener, une identité bretonne annoncée si possible par des panneaux bilingues, une rue ou une place regroupant commerces, bistrots et autres lieux amenant une certaine animation, et cerise sur le gâteau, une gare en fonction…). Questembert me semblait parfaite, avec en plus ses marchés sous vos belles halles. Ce que j’avais lu de la vie associative me plaisait aussi, bref, tout bien. Donc j’y passe au milieu du mois d’août, rapidement, en me disant que j’y reviendrais en septembre, plus au calme, mais… énorme surprise : le calme – et c’est peu de le dire – je l’ai trouvé à un point que je n’imaginais pas en cette période ! En arrivant sur la petite place où il y a la maison de la presse ; j’ai pensé « voilà le début du coin commerçant, même s’il n’y a pas grand chose en face. La suite des magasins se trouve sans doute plus loin ». Mais plus loin… rien (sauf les halles, magnifiques) Nettement plus loin, une autre place, mais bien tristounette. Ai-je mal regardé ou les commerces à Questembert sont-ils une boulangerie à un endroit, sans voisin commerçant, une boucherie à un autre endroit, sans voisin commerçant, une pharmacie à un troisième endroit, etc? Tous isolés les uns des autres, sans continuité ? Je me dis que j’ai sans doute mal vu, ou alors le quartier commerçant, c’est la gare (mais ça m’a plutôt semblé être ce qu’on appelle une « zone commerciale », avec ce que ça implique de particularité). J’ai refait un tour, suivi le panneau « tous commerces » (ou quelque chose comme ça, je ne sais plus), mais je suis retombée sur la place tristounette, puis la rue menant aux halles et à la petite place de la Maison de la presse. Les touristes ne m’ont pas gênée, c’est sûr, donc sur ce point ce n’est pas Guérande, ouf. Mais j’aurais bien souhaité une demi-mesure. Pas de panneau bilingue non plus à l’entrée de la ville, ce qui m’a étonnée de la part d’une commune abritant une école Diwan. Bref ; j’avoue avoir été très très très destabilisée (et le suis encore, à ce quevous pouvez voir !) par cette visite dans un Questembert qui pourtant j’en suis certaine est plein de bonnes et belles choses et de belles âmes dévouées à sa vie associative. Et donc je voulais vous faire part de ce ressenti, que j’espère vous recevrez tel qu’il se veut : l’expression d’une grosse surprise, et en aucun cas un jugement de valeur. Mais voilà, je cherche l’explication… Bien cordialement Marie-Christine PS : j’ai cherché un forum « commerces » pour mettre ce message, mais ne l’ai pas trouvé. — Envoi via le site Questembert, créative & solidaire (https://www.questembert-creative-so…) —
Et plus encore…
J’ai répondu à ce premier message en arguant que c’était peut-être un mardi, jour de fermeture, que la crise sanitaire avait ébranlé plusieurs commerces, qu’à la fin de cet été on sentait un regain de vitalité. Je l’ai invitée aussi à entrer en contact avec les responsables de la municipalité. J’ai bien précisé aussi que le site Questembert créative et solidaire n’était plus actif. J’ai reçu en retour un nouveau message.
Merci pour cette sympathique et honnête réponse. On vous devine désabusé et je le comprends : moi-même qui ne suis pas de Questembert et n’ai donc aucune raison d’être triste d’en voir l’état, j’en suis repartie assez éberluée. Comment une ville qui semble avoir tant d’atouts géographiques (au moins autant en tout cas que certains bourgs du quasi centre-Bretagne – pourtant pas l’Eldorado ! – qui s’en sortent, bien que n’ayant ni gare, ni grand axe routier à proximité immédiate ou un peu plus éloignée !!!
J’avais sans doute trop investi « affectivement » dans une ville qu’au fond je ne connaissais que sur le papier (se méfier du papier !!!) et qui semblait correspondre à tout ce que je recherchais (sauf tout de même : pas de panneau bilingue, au moins en entrée et sortie de ville, quand on abrite une école Diwan, voilà encore quelque chose qui détone à Questembert. Ne serait-ce que pour le marketing : le breton plaît aux touristes, les 200 euros du panneau sont rentabilisés… ?)
Hélas non je ne suis pas passée un mardi mais un mercredi ou un vendredi, de mémoire.
Enfin voilà, je suis donc à la recherche d’une autre commune, je pense à Locminé ou Ploermel, un peu grandes mais qui pour beaucoup de choses cadrent avec mes paramètres (un bon bagad ? ; une UTL, une belle identité bretonne…). Beaucoup plus loin de ma chère (à tout point de vue) presqu’île guérandaise, mais tant pis ! Nous verrons bien.
En tout cas, du fait que je ne vise hélas plus Questembert pour les raisons que vous savez, donc je ne m’engagerai pas dans un échange avec la nouvelle municipalité.
Et maintenant, on fait quoi?
J’ai mis ce message pour provoquer la réflexion, le débat. A vous maintenant!
PS S’agissant du bilan de la municipalité sortante…
J’ai envie de compléter la réflexion engagée en vous référant au paragraphe Centre-ville de mon article du 3 février 2020 Une brassée de roses pour Mme Martin
Le conseil municipal se réunira lundi 7 à 20h à l’Hôtel de Ville. La séance est publique, mais en raison des contraintes sanitaires, il n’y aura que 10 places pour les auditeurs (masque obligatoire, bien sûr)